La saison de la pêche du dorado est terminée à Tsimane lodge en Bolivie depuis quelques semaines maintenant (report sur la saison à suivre après fin de parution de mon article dans Pêche Mouche). La saison 2011 a été très bonne, avec de très bons résultats tout au long de la saison sur les deux lodges que forme l'opération tant pour le dorado que le pacu. De très beaux spécimens pris (dorado / pacu), des situations de pêche hors du commun, des attaques surprenantes!! Un vrai régal. Vivement 2012!!

Le lodge de Tsimane réouvrira à la mi-avril 2012 avec des nouveaux projets et toujours des surprises. Quant à moi, je serait normalement prèsent sur place de la mi-juillet à mi-octobre.

En Argentine, la pêche du dorado peut démarrer dès la fin novembre mais bat son plein de janvier à mai. Les rivières sont nombreuses dans le nord du pays, sur Corrientes, Mission, Salta. Le Parana notamment donne de très bons résultats en nombre et en taille. Salta, avec toutes ces possiblités.

Nervous Waters et Untamed Angling opèrent chacun un lodge pour la pêche du dorado, dans de sublimes coins de la planète. L'immense Marais de l'Ibera, sources du Rio Corrientes, avec ces labyrinthes de canaux et sa faune surprenantes pour le lodge de Pira en Argentine. La jungle bolivenne et ces magnifiques dorados et pacus pour le lodge de Tsimane.

N'hésitez pas à me contacter pour plus de renseignements sur la pêche du dorado en Amérique du Sud.

A bientôt,

 The Bolivian season at Tsimane lodge is now over since a couple of weeks. Season 2011 was very good in both lodges Asunta and Pluma all the season long with good numbers of nice dorados and pacus. Lots of great action, big dorado attack, sight fishing situation,...what else! I'am looking forward to next season!

Tsimane lodge will open next season from 15th april to 15th october. New projects and always some surprises. I will be at Tsimane in Asunta lodge my self from 15th juillet to 15th october. Hope to see you there!

In Argentina, dorado fishing can be good in november but the prime time is from january to may usually. There is a good number of prime argentinean river for dorado fishing. Corrientes, Missiones, Salta. The Parana river has been very productive in number/size of fish. And Salta, with all those nice rivers.

Nervous Waters and Untamed Angling manage each one, one lodge on some of the best spots of the planet. The Ibera Marsh with is complexe ecosystem, wildlife and beauty at Pira lodge. The bolivian jungle with his beautiful and powerful dorados and pacus at Tismane lodge.

Contact me for any information about dorado fishing in South America.

Tight lines,

Jean Baptiste.

A Tsimane lodge nous avons la possibilité de pêcher le Rio Secure mais aussi nombre de ces affluents qui offrent un très bon potentiel de pêche et surtout une expérience incroyable. Leur taille est bien sûr réduite, les eaux cristallines et les espèces rencontrées sont par contre les même que sur le Secure en taille, poids et proportions similaires.

La pêche est bien sûr plus technique du fait de la taille de ces affluents, du couvert végétal et des situations de pêche. Mais quelle expérience de se retrouver dans un coin si reculé de tout, préservé et d’une beauté époustouflante. Nous offrons aux clients de Tsimane la possibilité de pouvoir aller pêcher ces sanctuaires vierges de toute pression de pêche de temps à autre, quand les conditions d’eau, climatiques sont bonnes et que le niveau et expérience des pêcheurs le permettent.

Dernièrement Marcelo Perez, créateur et propriétaire de Untamed Angling est venu nous rendre visite et a voulu explorer pour la journée le Maniquisito, un des affluents de la partie haute du Secure, au lodge de Asunta faisant partie de l’opération Tsimane.

Nous avions décidé d’aller explorer la partie haute du Maniquisito le plus amont possible, en passant rapidement sur les postes et pools moins intéressants. Je connais bien cet affluent et nous avons pêché principalement les secteurs où les dorados et pacus sont présents en plus grande quantité et où les pools sont prometteurs.

Chaque pool héberge dorados, pacus et yatorana et nous avons eu une très belle journée tant pour les conditions de pêche, les niveaux d’eaux et l’activité des poissons.

Nous prendrons lors de cette journée un pacu de 5 à 6 kg à l’aide d’un petit streamer noir en craft fur, en raterons un autre qui viendra prendre notre streamer dans nos pieds après l’avoir suivi sur plus de 5 mètres et décrocherons un autre pacu cette fois pris sur une bille en plastique imitant un fruit local.

Plus tard, dans l’après midi nous aurons la chance de prendre un très beau dorado de plus de 9 kg qui nous sortira une bonne quantité de soie, sautera 6 fois et se rendra après un combat surpuissant et majestueux.

Nous aurons d’autres belles occasions et vu de belles choses. Les paysages sont splendides et il est très difficile de faire demi-tour pour prendre le chemin du retour tant chaque pool et poste vous donne envie d’aller plus loin, passer la prochaine courbe pour voir ce qu’il y a ensuite..encore et encore…

Ces affluents sont tout simplement magiques. Il semble irréel de voir et prendre des poissons de telle taille dans ces petits affluents, si sauvages et vierges !

A Tsimane lodge, de nombreux joyaux vous attendent comme ces affluents, mais aussi la possibilité de partir en campement pour aller pêcher le haut de certaines rivières comme le Haut Secure qui fourmillent de gros dorados, pacus et yatorana que je vous raconterais dans mon prochain article de Enjoy Fishing.. à venir !

A bientôt pour de nouvelle expérience au fin fond de la jungle bolivienne où chaque jour est nouveau et pleins de surprises !

Jean Baptiste.

 Voici enfin la première partie de notre séjour au Vénézuéla à Los Roques. Il m'a fallu du temps pour rédiger et publier cet article! Je suis en effet tout le temps sur la route, et n'ai pas trop de temps pour mettre en ligne mes histoires de pêche. Vous m'en voyez désolé! Mais tout vient à point qui sait attendre!

Le 29 juin avec mon compagnon de pêche Olivier nous revenions d’un séjour de 14 jours de pêche sur le magnifique archipel de Los Roques au Vénézuéla.

Nous embarquons dans le petit « coucou » de 8 places pour survoler et avoir un aperçu aérien de ce qui nous attendait, et quel bel endroit !!  Nous passons au dessus des nombreuses îles qui composent l’archipel et nous rendons rapidement compte que les possibilités sont nombreuses.

Plusieurs clients, guides et amis m’avaient donné des informations sur Los Roques et nous nous étions préparés et avions déjà quelques idées en tête :

Objectif : pêcher par nous même le bonefish sur plusieurs ïles en recherchant les poissons en wadding et sortir avec 2 guides différents pendant 2 X 2 jours,  avec Guareque et Claudio pour tenter de prendre un tarpon ou un permit et pêcher quelques autres spots à bonefish qu’il n’est possible de pêcher qu’avec un guide.

Pêche du bonefish :

Nous commencerons à pêcher dès notre arrivée, après avoir pris notre petit déjeuner et monter nos cannes, nous partons « tout excités » pour pêcher l’ïle principale de Gran Roque où se trouvent toutes les posadas. Gran Roque offre la possibilité de pêcher le bonefish, carangues et tarpons et pour l’occasion nous avions emmené avec nous les float tube pour essayer de nous donner plus de chance pour le tarpon en y allant nous même plus régulièrement. Il s’est avéré que les tarpons sont plus présents plus tard dans la saison, donc nous tenterons quelques sorties très matinales pour le tarpon et quelques unes pour le bonefish.

Nous commençons donc par pêcher le bonefish près de l’aéroport où les pélicans chassent et où d’après mes informations nous pouvions prendre quelques bone sympa sur des imitations d’alevins ou sardines. Nous prenons nos premiers bonefish prêt du ponton et tout de suite nous sommes surpris par la puissance des bonefish ! Ils sont en effet nourrit à la protéine de poisson et vous prennent vos clouser ou gummy très violemment ! Pas de bone pour moi mais une casse à la touche ! Oliv quant à lui prendra son premier fish puis un second!

Nous continuons et passons l’aéroport pour arriver sur le premier « vrai » spot qui se trouve juste derrière la piste d’atterrissage bordé par une petite mangrove. Les poissons sont là, ils chassent dans les alevins ! Quel spectacle ! C’est pour moi et Oliv la première fois que nous pêchons les bonefish avec des imitations de poissonnets et cela nous change des Bahamas, et des Seychelles. Je prends mon premier bonefish sur une chasse, en lançant directement sur le petit groupe de 3 bone tout excités en pleine action. La touche est brutale et le premier rush surpuissant ! attention au démarrage !

Nous pêchons ainsi sur ce spots et la marrée monte petit à petit. Les bonefish suivent la marrée et montent sur le turtle grass. Changement de technique, ils ne sont plus sur de l’alevin et j’opte pour une crevette foncée. Quelques lancer plus tard, je prends encore un bonefish et nous enchaineront plusieurs poissons ainsi. Nous tombons aussi sur un poisson en « tailing » mais j’arrive trop tard, le poisson se déplace et change de direction. Ce premier après midi est à la hauteur de nos espérances et je sais déjà que nous allons passer de très bons moments et surtout apprendre beaucoup de choses. Les conditions sont vraiment différentes de nos expériences passées et je suis très content de pouvoir apprendre des nouvelles choses et partager cela avec mon pote Olivier qui lui aussi est surmotivé et très excité de trouver ces conditions.

Le lendemain nous partons pour l’île la plus proche, Madriski et Cayo Pirata qui se trouve à 5 mn de Gran Roque. Nous nous faisons déposé avec les touristes qui partent sur les plages pour faire de la bronzette et faire un peu de plongé avec masques et tuba.

Au départ de Gran Roque il est possible de se faire déposer moyennant un coût entre 60 et 140 bolivares (8 bolivares pour 1 dollars selon où vous changez) et pêcher chaque jour une île différente. C’est ce que nous avons fait, en alternant des jours guidés pour rechercher tarpons et permits.

L’île de Madriski et Cayo Pirata abondent de bonefish et nous passons notre première journée complète sur ces deux îles pêchant tour à tour plages, flats et turtle grass.

Sur les plages nous avons utilisé des gummy ou clouser, ou petite imitation d’alevins sur des poissons assez difficile car certainement pêchés régulièrement. Les bonefish sont méfiants mais nous déjouons leur craintes par de long lancer et en changeant régulièrement de mouche pour voir ce qu’il fonctionne le mieux.

Sur les flats ou bordure de flat les bonefish prennent des imitations d’alevins mais aussi des crabes, ou crevettes. Je prends pour ma part un très joli bone d’environ 5 - 6 livres, puis un second un peu plus petit.

L’après midi nous croisons de chasse de petites carangues en je prends ma première en lançant directement sur la chasse. Combat sympa, pas aussi puissant qu’un bone mais tout de même intéressant.

Nous trouvons une bordure de plage bordée par une structure rocheuse où les bone sont à moins d’un mètre du bord. Nous les voyons de loin et pouvons faire de longs lancés pour déjouer leur méfiance. Les bonefish cherchent encore les alevins qui sont dans le ressac et nous prendrons quelques poissons et aussi quelques beaux refus !

Nous continuons à faire le tour de l’île et tombons sur une longue bordure de turtle grass et arrivons à point nommé car les bonefish montent avec la marée et très rapidement je tombe sur un poisson en tailing accompagné de 2 autres poissons. J’avais monté ma crevette verte foncée « fétiche » qui avait bien fonctionné la veille et lance directement sur le poisson car lorsque les bonefish sont en tailing il faut leur lancer la mouche très près sans les effrayer car leur champ de vision est beaucoup plus restreint et ne voient pas bien la mouche. La mouche atterrit à 30 cm du poisson, il l’aperçoit, s’avance et la prend sur le champ sans hésiter. Je ferre en faisant une longue tirée de la soie et le poisson démarre et me prends toute la soie et 20 mètres de backing. Je le suis et me rend compte que c’est un poisson plus gros que ce que je pensais car dans l’euphorie je ne m’étais pas rendu compte que je tenais un très beau bonefish. Après plusieurs longues minutes de combat je mettais au sec le plus gros bonefish de ma vie, avec un poisson mesurant près de 75 cm pour environ 9 livres !

Voila pour la première partie de notre séjour à Los Roques. Je vous donne rendez-vous dans quelques temps pour la seconde et dernière partie, avec d'autres photos et histoires de pêche!

A bientôt,

Jean Baptiste...

Après avoir pêché avec Martin de 3X Fly Fishing pendant quelques jours, j’allais avoir 2 journées de plus pour pêcher dans la zone de San Martin de los Andes dans la Province de Neuquen.

J’étais entré en contact avec Ronnie Olsen de San Huberto Lodge ; lodge très réputé dans le monde pour la pêche la truite en sèche, et celui-ci m’avait invité à passer quelques jours dans son lodge et découvrir la pêche du haut Malleo.

Le haut Malleo – San Huberto Lodge :

Le jour suivant je louais une voiture afin de pouvoir me déplacer et me rendre sur le haut Malleo afin aussi de pêcher sur la partie en amont de la Réserve Mapuche mais en aval du lodge de San Huberto, pour quelques heures avant de me rendre au lodge.

Ce parcours est assez semblable à la zone aval dans la réserve des Mapuches. Donc pas de grand changement, je cherche les spots à belles truites, postées en aval des arbres dans les contre courants où quelques jours auparavant la pêche avait été très fructueuse. Je pêche quelques heures sur ce parcours « No kill » où les accès de pêche sont signalés comme sur les rivières de l’Ouest Américain et où il est facile de stationner et d’accéder à la rivière.

La réglementation est strictement « Catch - release » « captura – devolucion » ce qui permet à la rivière de pouvoir être assez bien géré et il est facile de se rendre compte que le peuplement piscicole est en bonne santé !

Le lodge de San Huberto détient plus de 35 km du haut Malleo et les pools sont exclusivement réservés pour les clients du lodge. Les parcours attribués à chaque paire de clients (2 clients pour un guide) sont très vastes et lors de sa journée on ne croise pas d’autres pêcheurs. La rivière est pour nous seul !

La particularité de cette section de rivière c’est que l’on se trouve sur le haut du Malleo, où les eaux sont plus fraîches, et où les éclosions d’insectes sont tout simplement incroyables. Les clients du lodge viennent du monde entier pour pouvoir pêcher ces belles truites fario et arc en ciel en sèche. Lors de mon séjour sur San Huberto, je n’ai pas été très chanceux car le climat s’est fortement dégradé la veille au soir de mon arrivée au lodge, alors que jusque là depuis le début de la semaine, il faisait très beau et le soleil permettait de rendre les poissons actifs en surface. Nous avons eu une journée pluvieuse du matin au soir, et nous avons fini complétement trempés. Par contre les éclosions avaient été abondantes tout au long de la journée,  très variées et les truites en avaient profité pour s’alimenter en conséquence avant la période de reproduction.

Nous avons eu de l’action toute la journée, les truites étaient à table mais cela ne voulais dire pour autant qu’elles étaient faciles à prendre. Comme sur le parcours du bas, nous ne pêchions que les contres courants, les dessous d’arbres, en quelques sortes les postes compliqués où se trouvaient les plus beaux poissons. Les conditions météo étaient vraiment exécrables. Nous avons eu beaucoup de pluie, mais surtout énormément de vent ce qui ne facilitait pas les posés et la présentation qui devait être parfaite pour pouvoir leurrer ces truites sauvages, mais éduquées !

La clef du succès était non seulement de trouver la bonne mouche, en taille et en couleur, ce qui n’était pas chose facile car il y avait des éclosions composées, mais aussi de faire de très nombreux mending malgrè le vent pour arriver à garder notre mouche dans les contres courant de la berge d’en face, ou les petites bordures (au courant plus lent) le plus longtemps possible, là où gobaient sans répits nos truites !

Nous avons du changer de mouches au moins 30 fois dans la journée, car les éclosions variaient et il fallait s’adapter au menu des truites ! Nous avons principalement utilisé des petites mouches imitant des émergeantes de BWO (Blue Winged Olive), des Dun jaune ou ocre, des comparadun qui flottent très bas, quelques adams, Royal Coachman, etc.. et ceci en taille 18 à 16. Quand l’activité de surface diminuait, ou que nous ne trouvions pas forcément ce que mangeaient les truites, nous mettions un « dropper » (une nymph en potence) et nous avons fait de cette façon quelques poissons capricieux.

Chaque truite s’est battue de manière incroyable ! Les poissons sont en pleine forme à cette époque de l’année. Elles ont eu le temps de bien se nourrir pendant tout l’été et sont bien en chair. Les premiers rushs sont parfois dur à maitriser, surtout avec des pointes très fines/ à la taille des poissons. Nous avons perdu aussi quelques poissons malins qui nous faussaient compagnie en allant dans des souches, block ou autres obstacles naturels de la rivière.

Mon guide Hernan, un argentin de 27 ans nait à San Martin de Los Andes a été très bon, et de bonne compagnie. Les guides de San Huberto connaissent bien leurs rivières et les moindres accès, éclosions, postes à truites… Hernan m’a vraiment bien conseillé sur comment approcher et surtout pêcher ces truites, mais particulièrement de me montrer les spots de cette partie du Malleo, et où les truites se tenaient mais surtout me fournir les imitations (mouches) à utiliser, car j’étais venu sans mon matériel « truite » vu que ce petit voyage n’était pas vraiment prévu.

A la fin de la journée nous étions complétement trempé et humide, mais très contents et satisfaits de notre journée. Mon guide car j’avais bien pêché et suivi ces conseils et moi-même car j’ai eu la chance d’avoir une journée bien chargée avec énormément d’action, et surtout en sèche. J’ai pu prendre de très belles truites fario et arc en ciel entre 40 et 50 cm. Aucune petite truite, ni de très grosse même si je me suis fait casser à plusieurs reprises (dans des obstacles) et que nous n’avons pas vu les poissons !

Le Malleo est une rivière magnifique, très bien peuplé en truites, et aux profils très différents. La pêche se pratique quasiment exclusivement en mouche sèche, même si je pense qu’il est possible de pêche en nymphe à vue dans des meilleures conditions que ce que j’ai eu. Les éclosions et la densité de poissons en font vraiment une rivière à part et surprenante. Je sais dors et déjà que je retournerai tôt ou tard poser mes mouches sur ces beaux parcours du Lodge de San Huberto et de la partie de la réserve Mapuche qui héberge moins de truite, mais détient toutefois de très beaux spécimens.

Je rentrerai enchanté de mon séjour en Patagonie du Nord et n’espère qu’une seule chose, y retourner et découvrir d’autres magnifiques rivières du secteur ou des Provinces avoisinantes, pour enfin aller au bord du Traful, du Limay, du Caleufu, et bien d’autre !

Merci à Ronnie Olsen pour son invitation, Martin Castaneda pour les deux jours que nous avons passé, ainsi que Hernan pour ses conseils et sa sympathie !

A bientôt,

Jean Baptiste.

Hello, Hello!!

Je suis toujours en Argentine sur le Rio Grande et la saison touche à sa fin progressivement! Le 13 avril se termine notre saison avec notre dernier groupe! Je vais pouvoir profiter de l'Argentine et aller faire un tour dans le Nord de la Patagonie pour aller pêcher la truite sur les belles rivières de San Martin, le Malleo, Collion Cura, Limay... Enfin depuis le temps que je viens en Argentine. Il parait que c'est un bon moment pour faire de belles fario car elles remontent les lacs pour aller frayer!

Depuis le Rio Grande, mon esprit s'évade déjà et je pense beaucoup à ma nouvelle saison qui va arriver en Bolivie car je vais être de retour à Tsimane au lodge de Asunta, pour faire la deuxième partie de la saison comme l'an dernier. je me revois encore sur place, au milieu de la jungle avec tous les bruits de la faune, la rivière et les dorados en chasse, les pacues se delectant de fruits et feuilles tombant des arbres...les papillons volant par milliers! Vivement début juillet!

Cette année Tsimane ouvre ces portes un peu en avance car dès le 14 avril les premiers clients vont pouvoir aller poser leur mouches sur les eaux du Secure et des ces deux affluents, le Pluma et l'Itirisame!! La saison va se terminer le 15 octobre environ. Quelques changements au programme. Le lodge va pouvoir accueillir 6 cannes au lieu de 4, et un Outcamp est prévu sur le haut de la rivière.

Pour ceux qui ne connaissent pas, voici quelques photos et une très belle vidéo.

Il reste encore quelques places de libres pour la saison 2011, alors n'hésitez pas à me contacter pour avoir informations et réserver vos places.

Si cette video vous donne envie:

Contactez moi et venez pêcher dans le meilleur lodge du monde pour la pêche du dorado et pacu!

Bientôt un report sur la deuxième partie de la saison sur le Rio Grande!

A très bientôt,

Jean Baptiste, en direct du Rio Grande - Fishing manager de Kau Tapen lodge